Chère lectrice, cher lecteur, Devant le parlement européen, Janine Small, directrice chez Pfizer, a reconnu que le vaccin de cette marque n’avait absolument pas été testé en ce qui concerne la transmission du virus(1). Or c’est sur cet argument que l’on a justifié le « pass sanitaire ». Si vous n’étiez pas vacciné, on vous culpabilisait de mettre en danger votre entourage, notamment les personnes les plus fragiles. Alors que cet argument n’avait AUCUNE base scientifique. Le vaccin Pfizer ne protège en rien contre la transmission du virus, de même que son efficacité réelle reste douteuse – puisqu’il faut renouveler les doses sans arrêt. Cette expérience sociale avait donc visiblement 3 objectifs : — Remplir les poches des industries pharmaceutiques et de tous ceux qui ont été corrompus, médias et politiciens compris. — Diviser la société et instaurer un nouvel ordre social de type totalitaire, c’est-à-dire un sectarisme de masse, fondé sur la discrimination d’un groupe social en particulier. — Permettre des expériences scientifiques sur une population captive. A propos de ceux-ci, il faudra des années pour les évaluer. Mais on peut dire que les effets secondaires sont déjà si terribles et si nombreux que l’on ne peut que s’interroger sur le crime de masse commis. Ce sont les termes mêmes employés par Robert Roos, le parlementaire européen néerlandais qui a interrogé Mme Small de chez Pfizer. Or s’il devait y avoir simplement négligence, et non pas intention de nuire, celle-ci est aggravée par la corruption que l’on commence à voir poindre. Celle-là même qui a fait dénigrer l’Ivermectine au plus haut niveau, et sur des bases fort peu scientifiques, comme le révèle un récent article de France Soir(2). Ou celle-là même que dissimulent les SMS encore secrets que se sont échangés Mme Von der Leyen (présidente de la commission européenne) et Albert Bourla (PDG de Pfizer). Car, à partir des négociations dont on ne sait rien, cette dame a acheté avec votre argent pas moins de 4 MILLIARDS de doses pour le montant pharaonique de 71 MILLIARDS d’euros, dont 35 MILLIARDS pour la seule entreprise Pfizer(3). Cela fait beaucoup, non ? Surtout pour des vaccins si peu fiables et si dangereux. |